La commission européenne lance un nouveau portail de formation en ligne DEVCO consacré au DEVeloppement et à la COopération.
Cette plateforme gratuite vise à couvrir un grand nombre de sujets concernant les politiques de développement, les thématiques clef, les approches méthodologiques et le management des finances. Les ressources d’apprentissage de la plateforme seront proposées en association de quatre formats différents : des cours en ligne, des webinars, des vidéos et des documents.
This new public platform provides free access to DEVCO’s learning resources covering a wide range of relevant topics, including development policies, thematic areas, methodological approaches and financial management. The learning resources on the platform come in four different formats: e-learning courses, webinars, videos and documents. https://webgate.ec.europa.eu/devco-academy/
Étiquette : e-learning
le Top 100 des outils pour apprendre 2012 selon Jane Hart du C4LPT
Définition d’un « Tool for Learning » par le Centre for Learning & Performance Technologies
Un outil pour apprendre est un outil pour créer ou donner accès à des ressources / solutions pour les autres, ou un outil pour votre propre apprentissage personnel ou professionnel.
Voici la la liste 2012 des 100 outils pour apprendre tels qu’ils ont été choisis par votes par 582 professionnels de la formation dans le monde entier. Quelques faits saillant dans ce diaporama :
Selon Jane Hart, l’outil vainqueur toute catégorie pour la 4ème année est le réseau Twitter, puis viennent YouTube (2e) et Google Docs (alias Google Drive) (3e) qui conservent leurs places pour la 3ème année consécutive.
Cette année aussi la liste est dominée par des outils socio-numériques en ligne et gratuits. Cependant, une tendance se dégage, on observe en particulier, une forte différenciation dans les pratiques des outils utilisées dans l’enseignement par rapport à celles utilisées pour l’apprentissage en entreprise.
En effet, bien qu’il existe une différenciation claire entre les outils polyvalents (personnels et professionnels) et les outils en direction de l’entreprise, on observe que les enseignants font un usage beaucoup plus fréquent des mêmes outils à la fois pour leurs activités d’enseignement que pour leur propre apprentissage personnel.
Dans leur travail, les formateurs d’entreprises continuent de faire un usage intensif des outils-auteur pour le e-learning ainsi que des outils de Web-conférence (dont l’usage est en hausse cette année, il faut le remarquer), tandis que pour leurs propres apprentissage personnels et/ou professionnels, leur boîte à outils comprend en revanche un large éventail de services en ligne grand public.
Les outils et services socio-numériques du web 2.0 progressent moins vite que prévu dans les entreprises au profit des outils spécifiques pour le e-learning.
Il est possible d’expliquer cela, à la fois par la nature des activités pédagogiques développées : en situation d’enseignement, elles mobilisent généralement des groupes d’étudiants, tandis qu’en entreprise les ressources sont majoritairement autogérées dans un cadre individuel. En outre, les entreprises sont particulièrement sensibles à la sécurité et à la nature confidentielle des informations. Elles n’ont pas encore suffisamment appréhendé les bénéfices des démarches de collaboration pour apprendre.
E-learning : libertés de concevoir et d’apprendre.
La formation ouverte et à distance FOAD énonce la promesse de former le plus grand nombre par des moyens technologiques fondés sur des principes didactiques rationnels à moindre coût. Certains y voient le risque d’une formation sans présence humaine, confortant un monde scandé par des technologies dont les logiques répondraient à un moteur exclusivement déductif au dépend de tout autre type d’interactions avec le réel.
C’est assurément une question de société, mais posons nous la question : « A un moteur technologique déductif correspond-il nécessairement un apprenant qui n’apprend qu’exclusivement de manière déductive ? «
Ma première réaction est de vouloir séparer la question de la marchandisation de la connaissance et la soumission des systèmes éducatifs à cet impératif, question politique, de la question de la mise en œuvre de logiciels, plateformes, simulations fondés sur des « moteurs exclusivement déductifs », question didactique.
Aussi, la discussion voudrait que soient associés systématiquement e-learning et raisonnement déductif car (ou parce que) soutenu par une infrastructure numérique. Le mode de raisonnement déductif se définissant donc en opposition au mode de raisonnement inductif ou d’autres opérations cognitives telles l’invention, la création ou l’intuition, l’imagination, etc…
A notre avis, ce point de vu ne me semble pas pouvoir être établi comme une règle définissant des propriétés génériques de la FOAD (formation ouverte et à distance).
Seul le cas de l’EAO (enseignement assisté par ordinateur) datant des années 70 et de ses avatars contemporains peut s’approcher d’une telle définition. L’entrainement à la maitrise de procédures, fondé sur la mémorisation et l’assimilation de savoirs. Ces méthodes sont employées pour présenter de l’information très structurée et hiérarchisée. Savoirs, dont il est assez aisé de vérifier par des tests la capacité du « sujet » à retenir les définitions, l’organisation de procédures et des arbres de concepts.
Des environnements socio-culturels
L’existence de dispositifs de FOAD aussi normalisés soient-ils, fonctionnant avec des plateformes logicielles, bien qu’ils possèdent une ergonomie d’interaction homme-machine et soient structurés par des logiques de documentation technique, n‘ont pas pour simples fonctions de mettre en oeuvre des moteurs déductifs. En effet, la plupart de ces plateformes (learning Management system) sont architecturées pour exprimer des métaphores, en lien avec les repères socioculturels des apprenants. Il va s’agir de proposer des « campus », des « universités virtuelles », des « classes virtuelles », des « webinars » (web+séminars), des « bibliothèques numériques », etc..En entreprise chaque métier apportera son lot de repères socio-culturels.
Nous sommes bien là dans des logiques de sémantique et de communication didactique.
Scénariser les parcours
Parler de l’environnement de formation ne dit encore rien de la conception didactique des cours et des ressources. D’autres logiques là s’expriment encore, le didacticien, va souvent mettre en scène, « scénariser », mettre en récit, les savoirs. C’est la dimension la plus connue du e-learning. Là, un grand nombre de stratégies pédagogiques peuvent être utilisées pour développer les connaissances, en particulier la présence ou l’absence de différents acteurs : enseignants, tuteurs, collègues, groupes, binômes et les modalités relatives aux temps d’apprentissage.
Les dispositifs de formation eux-mêmes sont l’objet de scénarisation, quant à savoir quels acteurs (apprenants, tuteurs, groupes) vont interagir avec quelles ressources (cours, exercices, activités support à l’apprentissage), à quel moment (activités synchrones, asynchrones) et de quelle manière (en amphi, en groupe, en binôme, seul, en salle, à distance…). Ces scenarii de cours et de dispositifs sont décrits par des langages normalisés comme le langage IMS-Learning Design dont l’objectif est de permettre à des enseignants-concepteurs de cours d’échanger des ressources accompagnées de leurs données descriptives.
Là encore, les partis-pris pédagogiques et didactiques les plus divers peuvent y trouver leur expression sans craindre la frustration du langage binaire.
Didactiser avec les typologies d’objectifs d’apprentissage
Mais didactiser pour la FOAD est un travail d’ingénierie des connaissances fin qui consiste à concevoir des tâches, des exercices, des simulations de processus qui placent l’apprenant en position de produire mais surtout de mettre en œuvre une activité de construction de ses connaissances. Ces exercices seront retenus pour leurs propriétés à mobiliser des situations mais également des processus cognitifs spécifiques identifiés : des habiletés (analyser, réparer, synthétiser..).
Le spécialiste Gilbert Paquette de l’ingénierie des connaissances a décrit des répertoires d’habilités identifiées (capacités) pour développer des compétences dans un environnement conceptuel donné (discipline scientifique, technologies, culture métier, etc..). Il redéfinit les fonctions des typologies d’objectifs d’apprentissage de Benjamin Bloom et de ses successeurs.
(cliquer pour agrandir l’image)

Les habiletés regroupées en grandes catégories génériques, permettent de décrire des activités professionnelles ou cognitives complexes (par exemple : créer une charte graphique, gérer un projet de site web, rédiger un thésaurus documentaire, etc..), présentées sous formes de cartes qui vont servir de cadre conceptuel pour concevoir des activités d’apprentissage reproduisant ces processus. Ces exercices demandent pour être réalisés par des apprenants, de mobiliser des habiletés et des connaissances.
« Une compétence est un énoncé de principe qui détermine une relation entre un public-cible, une habileté et une connaissance. » in Paquette Gilbert 2002, Modélisation des connaissances et des compétences. Un langage graphique pour concevoir et apprendre, presse de l’université du Québec.
Place à l’imagination didactique» !
Ce long développement est là pour démontrer que « l’imagination didactique » prend alors toute sa place ; l’environnement numérique loin de constituer un langage binaire, va étayer l’ensemble des processus de conception, de développement et de mise en œuvre de la formation. Nous sommes témoins que le numérique permet de connecter les ressources et les personnes, de manière à générer de nouvelles représentations mentales chez les apprenants, il facilite la créativité et l’imagination de solutions à des problèmes peu ou pas structurés, en particulier, par le schéma, l’image et les propriétés du langage humain.
Dispositifs au rabais ?
Reste la question de l’industrialisation de l’ingénierie de formation, qui est celle de savoir si parmi l’ensemble des possibilités technologiques et instructionnelles, seul un très petit nombre d’entre elles risque d’être retenues et reproduites de manière standardisée pour en faire baisser les coûts. Dispositifs pauvres répondant aux besoins de masse.
Il a souvent été observé que les acteurs économiques, les commanditaires de dispositifs prennent des décisions basées sur les coûts et la rentabilité avant d’y intégrer des aspects immatériels et difficilement quantifiables comme la compétence. Et ce, qu’il s’agisse des environnements numériques ou pas !
Il apparait donc qu’il s’agit de questions économiques, managériales et donc de choix et d’usages des instruments didactiques à la disposition des concepteurs.
Les nouvelles technologies ne soutiennent pas (toujours) les capacités d’apprentissage
Une étude publiée en août 2010 dans le Journal of Educational Psychology, a permis de mettre en évidence quelques principes simples de l’approche dites SOAR de l’apprentissage et lui a donné une certaine notoriété.
Elle observe que les étudiants, même ceux que l’on désigne parfois comme « Digital natives » ont tendance à étudier sur un écran d’ordinateur de la même manière qu’ils le feraient avec des documents papier.
Ils vont copier sans réfléchir des extraits, prendre des notes incomplètes ou mot à mot, élaborer de longues prises de notes qui rendent difficile la mise en relation et la connexion des informations entre elles ; et en outre, ils s’appuient trop sur des exercices de mémoire comme la relecture ou le recopiage de leurs notes de cours.
Dans cette étude, il est observé que les évaluations sont de 29 à 63 pour cent plus élevées lorsque ils utilisent des stratégies d’apprentissage comme l’enregistrement de notes audio, la création de schémas comparatifs, établissent des associations de concepts et réalisent des exercices pratiques à l’écran ou avec un crayon.
La méthode d’étude SOAR
Le professeur Kiewra, professeur de Psychologie de l’Éducation à l’Université de Nebraska-Lincoln nomme sa méthode SOAR (To soar s’élever, monter en flèche en anglais) , elle décrit les stratégies suivantes : sélectionner les idées-clef d’un cours, organiser l’information avec des schémas comparatifs et des illustrations, associer des idées pour créer des connexions signifiantes entre elles et soutenir régulièrement l’apprentissage par des exercices pratiques.
Ces stratégies viendraient compléter les processus de traitement de l’information du cerveau, explique t’il.
Kiewra détaille : « L’apprentissage se produit mieux lorsque l’information importante est distinguée de l’information moins importante, en la décomposant en idées simples, quand l’information retenue est organisée graphiquement, quand un travail d’association entre les idées est effectué par l’étudiant et lorsque la compréhension est évaluée par des activités d’auto-évaluation régulières. »
Cette étude aurait vocation à orienter et guider les concepteurs pédagogiques pour le e-learning, en intégrant ces stratégies dans le choix des exercices qu’ils proposent, et les consignes même de mise en œuvre des activités à l’écran.
Les développeurs d’environnements technologiques pour la formation à distance, plate-forme (LMS) et outils-auteur pourraient également y trouver de nouvelles ergonomies d’interaction avec les ressources didactiques en ligne.
Proposer systématiquement des outils d’aide à l’apprentissage facilitant l’appropriation du cours, en permettant à l’étudiant de construire ses propres ressources à partir du matériel qui lui est fourni ( outil d’annotation de la ressource, de création de cartes mentales – mindmap -, outil de citation, de captures d’écran, ….) en offrant un mixte d’outils numériques internes propres à l’environnement ou d’accès à des outils externes, logiciels et services en ligne.
A cela pourrait s’ajouter des outils de collaboration autour des ressources pour rester dans le paradigme socio-constructiviste qui est le nôtre, mais nous dépassons là le cadre de cette étude.
Cette étude est intéressante car elle illustre un principe didactique : rédiger, transformer et organiser ses propres documents pour un étudiant, c’est en même temps faire un travail de construction de ses connaissances.
L’activité d’apprentissage est une activité mentale qui a été comparée par les didacticiens des situations professionnelles à celles mises en oeuvre dans les situations de travail.
A l’activité productive du travail (pédagogique ici) correspond toujours une activité constructive de nature cognitive, source d’apprentissages et de développement de compétences .
Portail SOAR study skills :
http://soarstudyskills.com/educators/study-skills-curriculum/research-basis/
Sources : Helping students SOAR to success on computers: An investigation of the SOAR study method for computer-based learning.
Jairam, Dharmananda; Kiewra, Kenneth A.
Journal of Educational Psychology, Vol 102(3), Aug 2010, 601-614.
6- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD. Consulter/diffuser
Comment participer au dispositif de veille ?
Vous êtes lecteur des sites de t@d, vous pouvez participer : adressez nous un petit mail à cette adresse tad2007@free.fr
Nous sommes en phase en démarrage de l’activité et nous allons commencer avec un groupe restreint de personnes.
Lorsque vous avez créé votre compte sur delicious, nous vous rajoutons au “network” -réunion de lecteurs participants “blogdetad” et nous vous demandons de rajouter aux favoris delicious que vous proposez le mot-clef “blogdetad” comme indicateur que cet article est suceptible d’intéresser la communauté de pratiques t@d. Car vous pouvez très bien indexer des publications pour d’autres projets : fiches cuisines, etc..!!
Comment consulter les résultats de la veille participative ?
- Sur le site tutoratadistance.fr
Les descriptions des articles seront diffusées sur le portail de t@d et certaines seront développées sous la forme d’une critique ou d’une analyse, - Widget de t@d
Un Widget est à la disposition des lecteurs du site, c’est à dire une petite fenêtre à installer partout qui contient l’actualité quotidienne du travail de veille des lecteurs-participants. - Le flux RSS du travail participatif est disponible sous licence creative commons, ce qui suppose de mentionner la source des informations qui sont réunies.Cette veille participative fait l’objet d’une expérimentation avec l’observation de son fonctionnement et sera modifié par une démarche itérative de type essais et erreurs, à partir de feed-backs qui nous seront retournés.
Pour aller plus loin,
- Faire une recherche sur les “Folksonomies” …dans Delicio.us : http://del.icio.us/tag/folksonomies
- Manipuler les interfaces de l’incroyable site de Moritz Stefaner, Chercheur en “interface design” dont la thèse sur les générations de graphes sémantiques s’intitule “Visual tools for the socio–semantic web”.
Fin de l’article sur la veille collaborative en e-learning.
3- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD. Les thèmes de la veille.
3- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD. Les thèmes de la veille.
J’ai souhaité faire l’expérience avec la communauté t@d d’une pratique de partage de lectures : le principe est que les lecteurs-contributeurs installent un plugin dans leur navigateur et saisissent dans une fenêtre un descriptif court et certain nombre de mots clef (les fameux tags ou libellés) dans l’objectif d’indexer et de faciliter les lecteurs à lire la ressources (publications, actualité..). Ensuite, les personnes prennent connaissance des articles sélectionnés par ce « comité de lecture » à composition flottante réuni autour de t@d , soit en se rendant sur le site de tutoratadisance.fr, soit, s’ils en possèdent une, en installant un « Widget » de veille, sur leurs pages personnelles, leur blog, leur page Netvibes, Google Reader..
Quels sont les thèmes objet de la veille ?
Les lecteurs de t@d réalisent au travers de leur activités professionnelles, d’enseignements ou de recherches personnelles une veille, c’est à dire, une lecture dirigée à partir de sources de publications papier et numériques, sources audio-visuelles ou écrites vers des thèmes institutionnels, technologiques, commerciaux et scientifiques.
Il peut d’agir de la publication d’ouvrages, d’évènements tels des salons ou des colloques, des articles de la presse généralistes aussi bien que dans les publications scientifiques concernant, et sans être exhaustif :
-
l’ensemble des fonctions professionnelles d’accompagnement dans les dispositifs de formation à distance quelque soit le vocable retenu (tutorat, mentorat, formateur..),
-
les processus interpersonnels, psychologiques et sociaux d’accompagnement et de médiation dans les dispositifs,
-
les technologies qui permettent de soutenir l’activité d’accompagnement et en particuliers les technologies qui favorisent l’analyse des traces.
-
les méthodes pédagogiques et la didactique professionnelle des savoirs impliqués dans les pratiques de formation à distance,
-
les politiques de formation et d’enseignement qui reconnaissent leur place aux métiers et compétences du tutorat en formation à distance.
Cette activité de veille informelle de tout à chacun peut être enrichie par le réseau et transmise facilement.
Cet article est à suivre..
2- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD. La participation.
2- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en formation à distance (FOAD).
Il existe une esthétique de la participation.
Concepteur pédagogique et producteur multimédia, je m’intéresse au Web sémantique et aux manières dont des systèmes de publication favorisent la participation et la collaboration des apprenants dans la continuité de la démarche socio-constructiviste (WIKI, forums, blogs collectifs, communautés, réseaux professionnels…).
Pour illustrer cette notion de web sématique, je citerais volontier une application artistique du concept : la construction par un grand nombre de personnes d’un nuage graphique de mots pour faire “oeuvre” commune. J’ai prêté mon concours au collectif artistique dédal(l)e avec qui j’ai créé une installation multimédia pour téléphone portable et et vidéo-projecteur : un “Tag cloud” -nuage de mots- participatif par SMS dans le cadre de la Nuit Blanche 2007 qui s’est intitulée “Heure bleue”.
Le Web sémantique modifie également radicalement la manière de rechercher des sources d’information sur le Web, Google n’est plus l’unique porte d’accès à de l’information pertinente mais des systèmes de recommandation de lectures se mettent en place grâce à la participation massive de millions d’internautes qui filtrent, archivent, annotent critiquent et bloguent les publications du Web. Ces nouveaux outils se nomment Technorati, Wikio, Swicki et Delicio.us entre autre.
Cet article est à suivre..
1 Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD.
1- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en formation à distance (FOAD).
La communauté T@d
Membre de t@d la communauté de pratiques des tuteurs en formation à distance dont Jacques Rodet est le fondateur, j’ai souhaité mettre en place un “dispositif” (comme on le dit dans le champs de la formation professionnelle) de veille sur l’actualité du tutorat en formation à distance.
Voici quelques extraits de nos échanges :
“A mon sens, cette veille doit être « qualitative » les articles et les textes qui sont retenus doivent être accompagnés d’un commentaire, elle doit être « ergonomique », elle doit s’intégrer aux pratiques de lectures quotidiennes des membres auteurs de t@d et elle doit fournir un service aux auteurs qui doivent pouvoir utiliser cette veille comme bon leur semble pour leur usage personnel et professionnel”
Pourquoi réaliser une veille sur l’univers du tutorat en formation à distance ?
“t@d a pour objectifs de faciliter la mutualisation des pratiques tutorales, d’offrir un espace de débats sur les thèmes liés au tutorat à distance, de permettre aux tuteurs de solliciter de l’aide pour la réalisation de leurs interventions tutorales à distance.”
La formation à distance dans son ensemble n’accorde que trop peu d’importance à l’accompagnement dans les dispositifs, dans un contexte d’industrialisation de la formation, les organismes de formation et les professionnels expriment des difficultés à valoriser les spécificités des médiations humaines dans la formation à distance.
Pourtant de nombreuses initiatives confirment la nécessité de développer de nouvelles pratiques de soutien de l’activité d’apprentissage, celles-ci gagneraient a être transmises, pensées et critiquées. La veille est un instrument au service de la professionnalisation des acteurs de la formation à distance.

Cet article est à suivre..
Meilleurs voeux 2008
Bonne et heureuse année 2008 !
Mes vœux web 2.0 et SCORM (si si !) se trouvent à cette adresse :
http://www.ki-learning.fr/voeux2008
mind mapping et processus e-learning
Je me suis livré à l’élaboration d’un schéma -type des processus e-learning faisant appel à un outil de modélisation des connaissances que j’aime bien : le mind mapping.
Le voici y retrouvez-vous vos petits ? Pourquoi ?
http://www.ki-learning.fr/processus-e-learning/index.html
Le mind mapping : Management du processus e-learning



