FUN MOOC pilote l’écosystème IDEFI N Eiffel a

Le portail de l’innovation dans l’enseignement supérieur annonce son soutien à un vaste écosystème techno-pédagogique piloté par le GIE FUN France Université Numérique :

Dans le cadre du projet IDEFI-N EIFFELa, FUNMOOC travaille actuellement à la mise en place de nouveaux dispositifs d’apprentissage personnalisés. Ils seront plus interactifs tout en veillant à la mise aux normes de l’accessibilité des contenus.

Il fédère un ensemble d’acteurs publics et privés pour développer un nouvel écosystème de production de MOOCs. Il doit permettre :

  • d’enrichir une expérience utilisateur en favorisant :
    • le « social learning »
    • la mise en place de dispositifs d’apprentissage personnalisés
  • de mettre ces MOOCs aux normes d’accessibilité

Acteurs du projet EIFFELa

Pour mener à bien ce projet, un ensemble d’acteurs publics et privés ont été rassemblés.

Pour le volet technique

Un ensemble de start-ups innovantes expertes dans le secteur de l’e-Education et du « social media » ont été réunies :

  • Adways pour l’enrichissement de vidéos
  • Domoscio pour l’ancrage mémoriel
  • Glowbl pour les activités sociales
  • M.F.P. pour son savoir-faire dans la mise en accessibilité des contenus (sous-titrage, traduction)
  • Koena spécialiste en accessibilité numérique

Pour s’assurer que les développements sont pertinents pour l’amélioration de l’expérience utilisateur, le laboratoire interdisciplinaireCHArt-LUTIN, spécialiste des usages et de l’accessibilité, doit définir des méthodes et des outils pour évaluer les solutions et vérifier leur adaptation aux besoins des apprenants, en particulier des personnes à besoins spécifiques.

Les développements réalisés sur laplateforme Open edX seront en Open Source, partagés au sein de l’écosystème françaisavec l’ensemble des acteurs utilisant cette technologie. Ils seront reversés dans la communauté internationale.

Pour le volet pédagogique

10 établissements sont partenaires du projet sur le plan pédagogique :

Lire la suite de l’article

Acteurs du projet EIFFELa

Pour mener à bien ce projet, un ensemble d’acteurs publics et privés ont été rassemblés.

Pour le volet technique

Un ensemble de start-ups innovantes expertes dans le secteur de l’e-Education et du « social media » ont été réunies :

  • Adways pour l’enrichissement de vidéos
  • Domoscio pour l’ancrage mémoriel
  • Glowbl pour les activités sociales
  • M.F.P. pour son savoir-faire dans la mise en accessibilité des contenus (sous-titrage, traduction)
  • Koena spécialiste en accessibilité numérique

Pour s’assurer que les développements sont pertinents pour l’amélioration de l’expérience utilisateur, le laboratoire interdisciplinaireCHArt-LUTIN, spécialiste des usages et de l’accessibilité, doit définir des méthodes et des outils pour évaluer les solutions et vérifier leur adaptation aux besoins des apprenants, en particulier des personnes à besoins spécifiques.

Les développements réalisés sur laplateforme Open edX seront en Open Source,partagés au sein de l’écosystème françaisavec l’ensemble des acteurs utilisant cette technologie. Ils seront reversés dans la communauté internationale.

Pour le volet pédagogique

10 établissements sont partenaires du projet sur le plan pédagogique :

Lire la suite de l’article http://www.sup-numerique.gouv.fr/cid106842/projet-eiffela-vers-une-experience-utilisateur-enrichie-sur-fun-mooc.htmlPhilippe Inowlocki, psychologue social

Jules Ferry 3.0, Concertation sur l’éducation et le numérique

Le 3 octobre 2014, le Conseil national du numérique (CNNum) a publié son rapport intitulé : »Bâtir une école créative et juste dans un monde numérique ».

Ce rapport s’inscrit dans la continuité des analyses de “Citoyens d’une société numérique” de novembre 2013, sur le numérique comme un  » levier de l’inclusion sociale et du pouvoir d’agir », composé de Sophie Pène, membre pilote, Serge Abiteboul, Christine Balagué, Ludovic Blécher, Michel Briand, Cyril Garcia, Francis Jutand, Daniel Kaplan, Pascale Luciani-Boyer, Valérie Peugeot, Nathalie Pujo, Bernard Stiegler, Brigitte Vallée, membres du Conseil.

Il est constitué de huit axes développant 40 recommandations :

  1. Enseigner l’informatique : une exigence,
  2. Installer à l’école la littératie de l’âge numérique,
  3. Oser le bac HN Humanités numériques,
  4. Concevoir l’école en réseau dans son territoire,
  5. Lancer un vaste plan de recherche pour comprendre les mutations du savoir et éclairer les politiques publiques,
  6. Mettre en place un cadre de confiance pour l’innovation,
  7. Profiter du dynamisme des startups françaises pour relancer notre soft power,
  8. Ecouter les professeurs pour construire ensemble l’école de la société numérique
Groupe de travail Education et Numérique du CNN
Groupe de travail Education et Numérique du CNN

 

 

 

 

 

 

 

Le rapport propose deux angles de lectures sur les thèmes de l’école et du numérique, l’angle des disciplines, des contenus et des méthodes d’une part, de l ‘autre, et c’est son intérêt principal, comment penser « l’éco-système » économique, institutionnel et éducatif qui va rendre  possible cela : école en réseau, nouvelles industries de la formation, recherche, startups, etc.

Il affirme deux convictions : l’école change, est depuis longtemps un lieu d’expérimentation et d’innovation sociale et pédagogique, les enseignants sont les moteurs de cela et il est faux de considérer l’école comme un bloc monolithique ; la deuxième affirmation est que le système scolaire ne va pas bien, rappelant les résultats de l’enquête PISA, il ne prend pas suffisamment en compte ses mauvais résultats en matière d’inégalité scolaire et d’inefficacité pour rendre « l’école désirable » , lutter contre la démotivation scolaire pour l’ensemble des élèves du primaire et du secondaire.

Dans ce billet je voudrais évoquer deux idées qui me semblent particulièrement intéressante dans la production de ce groupe de travail. Celle des modalités de coopération et de collaboration qui sont rendus possible au sein des pratiques d’apprentissage, de formation, d’enseignement dans les environnements numériques, bien au delà des questions d’équipement des établissements en ordinateurs. « Il faut aussi y voir un changement dans les savoirs, l’avènement d’une société de la question plutôt que de la réponse. Avec une école qui propose une organisation plus horizontale, plus coopérative, plus solidaire, plus créative. » La problématique de la théorie connectiviste de l’apprentissage mériterait d’être mentionnée bien au delà des MOOC dans le document.

Le principe de « co-design » constitutif des compétences collaboratives du futur métier de professeur, Les ateliers Canopé (nouvelle appellation des CRDP et CNDP) pourraient en devenir le prototype : événements pédagogiques hors des établissements, scénarisation collective de cours, développement de « micro-édition de proximité », c’est-à-dire des cours numériques coproduits localement par des équipes de professeurs transversales aux établissements.

Ces réseaux inter-établissements ne sont pas des lieux de formation, mais des lieux où les professeurs dessinent eux-mêmes leur activité, en réseau. La place des directeurs d’école et des chefs d’établissement est essentielle. Mais la conduite du changement demande un management non hiérarchique des projets et des initiatives. Les réseaux professionnels d’enseignants peuvent avoir un rôle majeur pour faire passer dans les établissements le sens de la révolution numérique : un travail en réseau autour de l’activité d’apprentissage avec une attention accrue aux choix et à l’autonomie des élèves.

Enfin il est remarquable que l’équipe animée par Sophie Pene semble témoignée d’une conviction réjouissante dans l’expérience de l’engagement dans la démarche de collaboration et de co-design des projets de ressources didactiques et d’enseignement , elle nomme cela engagement, pouvoir d’agir ou encore « Empowerment » des acteurs, le travail en communauté d’acteurs serait-il une des clef du changement ?

http://www.cnnumerique.fr/education/Philippe Inowlocki, psychologue social

La controverse sur l’apprentissage inversé « Flipped Learning »

Dans un article de septembre 2011 , le blog du Monde Internet Actu rend compte de la conférence TED 2011 et de l’approche proposée par Salman Kan, venu présenter la Khan Academy, un dispositif rationnellement structuré de plus de 2000 vidéos éducatives (voir la présentation vidéo avec sous-titres en français). La Khan Academy présente tous les signes du succès avec  1 millions de visiteurs par mois regardant entre 100 et 200 000 vidéos par jour.

Peut-on apprendre en ligne ? | InternetActu.

L’approche pédagogique proposée a été nommée et retenue comme l’apprentissage inversée « Flipped Learning ». Depuis les projets se revendiquant de cette démarche ne cessent de se multiplier, avec en parallèle, des travaux d’évaluation qui viennent alimenter la controverse sur l’impact sur les apprentissages de la méthode.

Le site Thot Cursus sous la plume de Alexandre Roberge en propose une définition :

L’expression « flipped learning » est due à deux professeurs de sciences, Jonathan Bergmann et Aaron Sams, qui ont utilisé cette méthode d’enseignement dès 2006. En fait, pour eux, l’apprentissage inversé tient plus du principe[…] comme ils le disent dans un récent article, que d’une méthode à appliquer mécaniquement.

Rappelons les grandes lignes de ce principe d’apprentissage :

  • L’enseignant enregistre des capsules vidéos de cours magistraux, ou fait appel à des capsules existantes;
  • Les élèves les regardent à la maison sur Internet, sur leur ordinateur ou dans leur lecteur DVD selon les technologies qu’ils ont chez eux;
  • De retour en classe, les élèves mettent en pratique les notions des capsules visionnées par des tests, des projets, des travaux, etc. et demandent des précisions à leur enseignant s’ils n’ont pas tout compris.

Cette méthode qui prétend lutter contre le cours magistral propose donc de déplacer le cours magistral en dehors de la classe, en le mettant en scène dans des séquences vidéos, utilisant les codes de communication des jeux, en offrant par exemple des badges, des médailles donc, aux élèves qui auraient suivis le programme de formation dans l’ordre et plus vite que les autres.

L’innovation se trouve probablement, selon nous, dans l’application de l’univers langagier et graphique des médias ou des jeux grands publics ( musique, habillage vidéo, effets télévisuels).  Ainsi que dans le talent de l’animateur-enseignant à mettre en exergue à l’écran les idées-fortes et les concepts-clef.

A suivre :

Le flux rss twitter sur les mots clef : « Flipped learning » : http://search.twitter.com/search.atom?q=flipped++learning

 

Salman Khan : Utilisons les vidéos pour réinventer l’éducation | Video on TED.comTED Talks Salman Khan parle du pourquoi et du comment de la création de la remarquable Khan Academy, une collection soigneusement structurée de vidéos éducatives qui offrent un programme complet en mathématiques, et, maintenant, dans d’autres domaines.

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via Ted

Philippe Inowlocki, psychologue social

Faut-il faire un doctorat ?

Faut-il faire un doctorat ?

« Ceux qui ont l’expertise pour travailler dans ce domaine [recherche et innovation], ce sont les docteurs y compris en sciences humaines et sociales. Le saut qualitatif sur le plan cognitif entre un master et un doctorat est incommensurable ».

Faut-il faire un doctorat ?« Le diplôme de référence dans le monde, c’est le doctorat américain, le PHd, pas les ingénieurs, formation sur laquelle s’appuyaient beaucoup les « Ceux qui ont l’expertise pour entreprises françaises. Or, nous sommes dans une économie de la connaissance; la compétition s’opère sur la capacité des entreprises à développer leur innovation et leur recherche. »

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doctorat diplôme universel
doctorat diplôme universel

viaki-learning.fr 2.0, Conseil, études, formation..Philippe Inowlocki, psychologue social

Uncommon Wisdom on Teaching (Une sagesse peu commune sur l’Enseignement).

Je traduis ici un extrait d’une tribune signée par Arne Duncan , Fred van Leeuwen et Angel Gurría respectivement secrétaire américain à l’Education, Secrétaire général de l’OCDE (Organisation for Economic Co-operation and Development),  Secrétaire général de Education Internationale qui représente 30 millions d’enseignants dans 171 pays et territoires dans le journal en ligne Huffington Post dans le cadre du Sommet International sur la Profession Enseignante.

Certains pensent que les syndicats d’enseignants sont les pierres d’achoppement des  réformes, mais d’un point de vu international,  il se raconte une histoire toute différente. Beaucoup de nations parmi les plus performantes du monde ont des syndicats d’enseignants forts qui fonctionnent en tandem avec les autorités locales et nationales pour stimuler le développement et la réussite des élèves. Dans les systèmes éducatifs les plus performants comme la Finlande, Singapour et de l’Ontario au Canada, les syndicats d’enseignants ont permis d’engager des réformes en tant que partenaires pour une recherche commune à faire avancer et rendre plus efficace l’enseignement et les conditions d’apprentissage.

Ces nations performantes  illustrent comment la collaboration, principe difficile le plus souvent, conduit à des progrès en éducation, bien mieux que par la confrontation « dure ».  Les dirigeants des institutions éducatives peuvent mieux accélérer les changements en travaillant ensemble et en partageant les meilleures pratiques qu’en travaillant seuls.

Partout dans le monde, l’éducation est le grand égalisateur, la seule force qui peut toujours surmonter les différences d’origines, de cultures  et de privilèges. Accroître l’autonomie des enseignants et leur participation aux réformes du système éducatif est vitale non seulement pour que les résultats des élèves s’améliorent, mais aussi pour que la profession enseignante soit mieux reconnue. Nous rejetons l’opinion répandue que cela ne puisse pas être fait.


Uncommon Wisdom on Teaching :

http://www.huffingtonpost.com/arne-duncan/uncommon-wisdom-on-teachi_b_836541.html

Sommet international sur la profession enseignante :

http://www2.ed.gov/about/inits/ed/internationaled/teaching-summit.html


huffington Post



Philippe Inowlocki, psychologue social

3- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD. Les thèmes de la veille.

3- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD. Les thèmes de la veille.

J’ai souhaité faire l’expérience avec la communauté t@d d’une pratique de partage de lectures : le principe est que les lecteurs-contributeurs installent un plugin dans leur navigateur et saisissent dans une fenêtre un descriptif court et certain nombre de mots clef (les fameux tags ou libellés) dans l’objectif d’indexer et de faciliter les lecteurs à lire la ressources (publications, actualité..). Ensuite, les personnes prennent connaissance des articles sélectionnés par ce « comité de lecture » à composition flottante réuni autour de t@d , soit en se rendant sur le site de tutoratadisance.fr, soit, s’ils en possèdent une, en installant un « Widget » de veille, sur leurs pages personnelles, leur blog, leur page Netvibes, Google Reader..

Quels sont les thèmes objet de la veille ?

Les lecteurs de t@d réalisent au travers de leur activités professionnelles, d’enseignements ou de recherches personnelles une veille, c’est à dire, une lecture dirigée à partir de sources de publications papier et numériques, sources audio-visuelles ou écrites vers des thèmes institutionnels, technologiques, commerciaux et scientifiques.

Il peut d’agir de la publication d’ouvrages, d’évènements tels des salons ou des colloques, des articles de la presse généralistes aussi bien que dans les publications scientifiques concernant, et sans être exhaustif :

  • l’ensemble des fonctions professionnelles d’accompagnement dans les dispositifs de formation à distance quelque soit le vocable retenu (tutorat, mentorat, formateur..),
  • les processus interpersonnels, psychologiques et sociaux d’accompagnement et de médiation dans les dispositifs,
  • les technologies qui permettent de soutenir l’activité d’accompagnement et en particuliers les technologies qui favorisent l’analyse des traces.
  • les méthodes pédagogiques et la didactique professionnelle des savoirs impliqués dans les pratiques de formation à distance,
  • les politiques de formation et d’enseignement qui reconnaissent leur place aux métiers et compétences du tutorat en formation à distance.

Cette activité de veille informelle de tout à chacun peut être enrichie par le réseau et transmise facilement.

Cet article est à suivre..Philippe Inowlocki, psychologue social

2- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD. La participation.

2- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en formation à distance (FOAD).

Il existe une esthétique de la participation.

Concepteur pédagogique et producteur multimédia, je m’intéresse au Web sémantique et aux manières dont des systèmes de publication favorisent la participation et la collaboration des apprenants dans la continuité de la démarche socio-constructiviste (WIKI, forums, blogs collectifs, communautés, réseaux professionnels…).

copyright Isabelle Bonté 2007Pour illustrer cette notion de web sématique, je citerais volontier une application artistique du concept : la construction par un grand nombre de personnes d’un nuage graphique de mots pour faire “oeuvre” commune. J’ai prêté mon concours au collectif artistique dédal(l)e avec qui j’ai créé une installation multimédia pour téléphone portable et et vidéo-projecteur : un “Tag cloud” -nuage de mots- participatif par SMS dans le cadre de la Nuit Blanche 2007 qui s’est intitulée “Heure bleue”.

Le Web sémantique modifie également radicalement la manière de rechercher des sources d’information sur le Web, Google n’est plus l’unique porte d’accès à de l’information pertinente mais des systèmes de recommandation de lectures se mettent en place grâce à la participation massive de millions d’internautes qui filtrent, archivent, annotent critiquent et bloguent les publications du Web. Ces nouveaux outils se nomment Technorati, Wikio, Swicki et Delicio.us entre autre.

Cet article est à suivre..Philippe Inowlocki, psychologue social

1 Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en FOAD.

1- Réaliser une veille collaborative sur le tutorat en formation à distance (FOAD).

La communauté T@d

Membre de t@d la communauté de pratiques des tuteurs en formation à distance dont Jacques Rodet est le fondateur, j’ai souhaité mettre en place un “dispositif” (comme on le dit dans le champs de la formation professionnelle) de veille sur l’actualité du tutorat en formation à distance.

Voici quelques extraits de nos échanges :

“A mon sens, cette veille doit être « qualitative » les articles et les textes qui sont retenus doivent être accompagnés d’un commentaire, elle doit être « ergonomique », elle doit s’intégrer aux pratiques de lectures quotidiennes des membres auteurs de t@d et elle doit fournir un service aux auteurs qui doivent pouvoir utiliser cette veille comme bon leur semble pour leur usage personnel et professionnel”

Pourquoi réaliser une veille sur l’univers du tutorat en formation à distance ?

“t@d a pour objectifs de faciliter la mutualisation des pratiques tutorales, d’offrir un espace de débats sur les thèmes liés au tutorat à distance, de permettre aux tuteurs de solliciter de l’aide pour la réalisation de leurs interventions tutorales à distance.”

La formation à distance dans son ensemble n’accorde que trop peu d’importance à l’accompagnement dans les dispositifs, dans un contexte d’industrialisation de la formation, les organismes de formation et les professionnels expriment des difficultés à valoriser les spécificités des médiations humaines dans la formation à distance.

Pourtant de nombreuses initiatives confirment la nécessité de développer de nouvelles pratiques de soutien de l’activité d’apprentissage, celles-ci gagneraient a être transmises, pensées et critiquées. La veille est un instrument au service de la professionnalisation des acteurs de la formation à distance.

Carretad

Cet article est à suivre..Philippe Inowlocki, psychologue social

Meilleurs voeux 2008

Bonne et heureuse année 2008 !

Mes vœux web 2.0 et SCORM (si si !) se trouvent à cette adresse :

http://www.ki-learning.fr/voeux2008

voeux 2008

Philippe Inowlocki, psychologue social

mind mapping et processus e-learning

Je me suis livré à l’élaboration d’un schéma -type des processus e-learning faisant appel à un outil de modélisation des connaissances que j’aime bien : le mind mapping.

Le voici y retrouvez-vous vos petits ? Pourquoi ?

http://www.ki-learning.fr/processus-e-learning/index.html

Le mind mapping : Management du processus e-learning

Management de processus e-learning

Philippe Inowlocki, psychologue social